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DÉCRYPTAGE – De crise en crise, les finances publiques se sont dégradées comme jamais sous sa présidence.
Bercy respire: le plafond hautement symbolique des 3000 milliards de dette publique n’a pas été franchi. Fin 2022, elle atteignait 2950 milliards d’euros, soit 111,6 % du produit intérieur brut (PIB) français, tandis que le déficit, de 4,7%, apparaît lui aussi un peu plus faible qu’anticipé. Le temps paraît loin, où le seuil des 100 % cristallisait toutes les craintes des hauts fonctionnaires. C’était au printemps 2017, lorsqu’Emmanuel Macron s’installait à l’Élysée.
Comme ses prédécesseurs, dès le pouvoir conquis, le jeune président a oublié ses promesses de modération pour déverser des dizaines de milliards d’euros sur tous les tourments du pays. L’histoire lui reprochera sans doute davantage: sous son quinquennat, les crises sociales à répétition ont souligné l’inanité de cette politique du chéquier, et la bascule de l’environnement financier, sa toxicité. L’envol des taux d’intérêt, dans la foulée de l’inflation, place désormais la France face à un mur budgétaire. Cette pression explique…
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Emmanuel Macron et la dette: six ans de rendez-vous ratés
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67 commentaires
67
Le mulet
le
Pour Mr et Mme de la présidence, 800 employés à leur service, excusez du peu.
nenuphar75
le
Je repense à toutes ces journalistes émoustillées plein de pétillants dans les yeux quand elles nous annonçaient que cet homme était un génie, un mozart, bon dans tous les domaines! Le seul domaine où il excelle, c’est pour embobiner les retraités qui votent pour lui, espérant sauver leurs bas de laines, qu’ils vont perdre quand l’Euro va s’effondrer.
Boycott
le
Cela confirme que ce président n’est pas apte a diriger le pays. Il ne sait pas choisir, il ne sait pas décider il ne sait pas gouverner. En fin de compte il joue avec la France et à la fin c’est les français qui ont perdu.
En Dordogne notamment, le directeur général de l’ARS de Nouvelle-Aquitaine a autorisé les hôpitaux du département à «utiliser au maximum des contrats “de motif 2” permettant de mieux rémunérer les praticiens».
Lors de son audition devant les députés, Yves Bréchet a estimé que «la politique énergétique du pays a été décidée par un canard sans tête».
Le leader syndical estime toutefois que l’épisode n’est pas clos et regrette le dialogue tardif engagé par l’exécutif.
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